La Proie de l'ennui
Halloween 2022 approchant, il fallait bien qu'un énième film de possession pointe le bout de son nez en salles pour offrir l'habituel combat entre des prêtres exorcistes et des forces démoniaques...
Par
le 26 oct. 2022
5 j'aime
3
Vite vu et vite oublié. Le féminisme vient même s'installer dans les films d'horreur : les femmes aussi ont le droit de pratiquer des exorcismes, et elles peuvent même aider à avancer dans cette discipline car leur capacité à être empathique permet de mieux aider les victimes... C'est vraiment le discours féministe primaire.
L'intrigue en soi n'est pas inintéressante, on trouve quelques idées correctes, mais rares sont les idées qui sortent vraiment du lot ; au final, une fois qu'on s'est fait au concept féministe, il n'y a rien de très différent par rapport aux autres exorcismes, à part un accent un peu plus mis sur les émotions et la compréhension, mais c'est si peu exploité que ça ne change pas grand chose... Les personnages sont faiblement développés, les situations également, les conflits sont convenus et les résolutions un peu faciles.
La mise en scène est correcte, avec quelques idées visuelles sympas, celle des cheveux notamment, mais pour le reste, c'est filmé comme bon nombre de films de ce genre, avec une obscurité par très jolie, des CGI moches et des acteurs qui font le boulot sans étinceler.
Bref, on s'emmerde un peu.
Créée
le 30 déc. 2022
Modifiée
le 30 déc. 2022
Critique lue 66 fois
1 j'aime
D'autres avis sur La Proie du diable
Halloween 2022 approchant, il fallait bien qu'un énième film de possession pointe le bout de son nez en salles pour offrir l'habituel combat entre des prêtres exorcistes et des forces démoniaques...
Par
le 26 oct. 2022
5 j'aime
3
Je n'ai pas trouvé d'avis dessus, rien, avant sa sortie. Ceci m'a semblé être un mauvais signe mais, étant fan d'horreur, je voulais tenter le coup malgré tout, et en toute tranquilité, donc tôt le...
Par
le 26 oct. 2022
4 j'aime
Réalisé par Stamm en 2k anamorphique avec un budget minuscule, c'est un succès. La proie du diable commence par l'enfance du personnage dans une séance qui remonte aux souvenirs de son sujet...
Par
le 17 sept. 2023
3 j'aime
Du même critique
Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...
Par
le 3 janv. 2016
122 j'aime
35
Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...
Par
le 22 févr. 2014
122 j'aime
45
La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...
Par
le 16 janv. 2011
110 j'aime
55