allez y il ressort en salles tous les ans pour Noël
Ce film atteins des sommets dans tous les genres cinématographiques et ceci dès le début, il regroupe à lui seul :
-le film au générique prometteur : paul Hay, tout le monde va donc aller voir le film pour ce grand acteur ! au générique vous constaterez son magnifique CV (plusieurs fois monsieur muscle numéro 2 de melbourne).
-le film initiatique : notre héros Samson s'entraîne dure pour combattre les opprimés tout en se cherchant lui même dans la force et la sagesse (en soulevant des rochers de 2 mètres de diamètre parfaitement sphérique et en polystyrène).
-la fresque historique : c'est le temps béni des colonies.
-le film d'émotion : Samson a eu la vie dure dans sa jeunesse, sa mère à subit un horrible viol. Attention mode d'emploi : pour comprendre certaines séquences, les flash back (comprenez : un passage définie se déroulant dans un temps passé par rapport à l'action direct du film) ont été teintés en bleues (évidement ! puisque c'est la couleur symbole du passé).
-le film de combat : avec des pirouettes digne des plus grands, tel Jackie Chan, Samson tue un buffle en carton pour sauver la belle Dalida. Le film compte 5 grandes scène (au moins) de combats mémorables (dont celui avec le cyclope).
-le film de péplum mythologique : il se combat contre un cyclope.
-le film gore : un ennemi est coupé en deux dans le sens de la hauteur.
-le film érotique : où nous comprenons que le miel est bel est bien un élément fort de la sensualité et de l'amour charnel, dans une séquence aussi torride que les frasques de nos amis de "la grande bouffe".
-le film sur les trains : le gouverneur hollandais ressemble à s'y méprendre à un cheminot qui aurait trop forcé sur l'antigel.
-le film à effets spéciaux : (liste non-exhaustive) un cou qui s'allonge, des yeux à la place des tétons, une architecture entière qui s'effondre sur les épaules robustes et huilées de Samson... il y a vraiment de quoi se combler, un film où les perles se suivent et ne se ressemblent pas sans jamais laisser de répits aux spectateurs.