La rosière, le retour.

Après avoir revu hier la première rosière, je revois celle de 79. Le maire a changé, moins charismatique, quelques dames ont pris de la bouteille et sont toujours membres du jury et elles se rebellent même au début du film. Quelques mots hein, pas de révolution.

Les majorettes ont disparu,le curé est toujours là et des tours hideuses sont apparues, Pessac est devenue une ville de 53000 habitants nous dit-on. Et le film est en couleurs. Eustache filme parfois de près, que de baisers pour la rosière (pas de geste barrière ...) et toujours de façon très neutre. Le charme opère toujours, seule la séquence finale du vin d'honneur ne peut soutenir la comparaison avec la première version.

A voir sans modération.