7
La route est longue
Si vous avez des problèmes dans la vie, que vous enchaînez les malchances et les mauvais coups du sort, que vous êtes malade et orphelin, que votre femme s'est taillée avec votre caisse mais sans...
le 3 mars 2011
92 j'aime
7
Sombre et puissant
Un film magistral qui sublime l'oeuvre originale de McCarthy.
L'ambiance est pesante, sombre, triste. L'homme y est présenté dans une optique Hobbesienne de guerre de tous contre tous mais le film, qui finira sur une note d'optimisme, rejette tout jugement de valeur explicite.
La relation entre le père et son fils est touchante : l'un constitue l'univers de l'autre dans ce monde hostile que nous redoutons tant et qui n'est peut-être pas si loin (idéologiquement, du moins). L'amour sincère de cette relation parentale s'oppose frontalement à l'hostilité de l'environnement et à la violence des rapports humains. Leurs joies, leurs peurs, leurs peines et leur farouche volonté de survivre sont transmises aux spectateurs sans aucune concession ce qui place cette oeuvre parmi celles que l'on vit et pas seulement celles que l'on regarde.
Un éloge peu conventionnel du courage, des liens du sang et de l'humanisme qui ne peut que toucher les hommes sans idéaux d'une société sans idéal.
L'ambiance est pesante, sombre, triste. L'homme y est présenté dans une optique Hobbesienne de guerre de tous contre tous mais le film, qui finira sur une note d'optimisme, rejette tout jugement de valeur explicite.
La relation entre le père et son fils est touchante : l'un constitue l'univers de l'autre dans ce monde hostile que nous redoutons tant et qui n'est peut-être pas si loin (idéologiquement, du moins). L'amour sincère de cette relation parentale s'oppose frontalement à l'hostilité de l'environnement et à la violence des rapports humains. Leurs joies, leurs peurs, leurs peines et leur farouche volonté de survivre sont transmises aux spectateurs sans aucune concession ce qui place cette oeuvre parmi celles que l'on vit et pas seulement celles que l'on regarde.
Un éloge peu conventionnel du courage, des liens du sang et de l'humanisme qui ne peut que toucher les hommes sans idéaux d'une société sans idéal.
D'autres avis sur La Route
8
Dead End
Hillcoat nous adapte ici un très bon Road-movie à l'esthétique froide et crasseuse d'une terre complètement dévastée en évitant habilement de tomber dans le cliché du film catastrophe moyen. La Route...
Par
le 17 juil. 2010
79 j'aime
6
7
Le monde, radeau de la méduse
La vie n’est plus, ou quasiment : plus rien ne pousse, plus d’animaux, pas même un oiseau. Rien, plus rien, seuls quelques survivants… La moindre canette ou boîte de conserve est un trésor, les...
Par
le 29 mars 2014
68 j'aime
25
Du même critique
9
Sombre et puissant
Un film magistral qui sublime l'oeuvre originale de McCarthy. L'ambiance est pesante, sombre, triste. L'homme y est présenté dans une optique Hobbesienne de guerre de tous contre tous mais le film,...
Par
le 3 déc. 2010
7 j'aime
7
Anti-lumière
Ce comte initiatique n'est sans doute pas l'oeuvre la plus profonde du Marquis mais elle reste la plus connue. Les répétitions de scènes de torture (ou de plaisir extrême, on ne sait plus trop)...
Par
le 3 déc. 2010
4 j'aime
4
Un vent pas vraiment divin...
Un jeu SDK sur GBA ne pouvait que ravir les fans de la série. Malheureusement, cet ersatz de beat'em all ne les comblera qu'à moitié. Le jeu se base sur le scénario du dessin animé, qui est loin de...
Par
le 3 déc. 2010
2 j'aime
