La Servante écarlate par suitaloon
Magnifique fable dystopique, adaptée un peu légerement par Schlondorf mais bien servi par un casting haut de gamme , Robert Duvall et Elizabeth Mc Govern, super hot, en tete.
Un film à revoir en période préélectorale, juste pour se rappeler que la liberté des femmes est la figure de proue de la liberté de tous.
Dommage que le happy end, et surtout la rencontre avec le male sauveur, au début du film apparaissant ambigu dans ses choix, puis devenant subitement un révolutionnaire angélique, soit si artificielle par rapport à la noirceur générale du film, qui n'attendait qu'une issue: la mort de tous les protagonistes principaux après la torture morale et physique que représentait leur existence.
Bonne année 2012.
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