Carton jaune.
Un bon petit film. C'est que je voulais voir, c'est ce que je voudrais dire. Il me peine de constater que La surface de réparation est un film moyen car tel un jeune joueur talentueux, j'avais placé...
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le 21 janv. 2018
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Un bon petit film. C'est que je voulais voir, c'est ce que je voudrais dire. Il me peine de constater que La surface de réparation est un film moyen car tel un jeune joueur talentueux, j'avais placé beaucoup d'espoir dans cette production.
Franck Gastambide et Alice Isaaz forment un duo de pointe efficace. Paumés, malheureux, touchants, miroirs réciproques de deux êtres qui sont à la recherche d'eux-mêmes dans l'opacité du monde du foot. On les savait talentueux, un jour ils seront brillants. Gastambide étoffe son jeu et Isaaz progresse naturellement.
Ce petit film qui démarre plutôt bien se retrouve vite plombé par une mise en scène raté, un mixage audio atroce (il faut souvent tendre l'oreille pour capter certaines phrases) et un scénario qui se cherche constamment; Un pas en avant, deux pas en arrière. Le côté foot provincial est mis à l'honneur et de jolis moments sont à souligner mais l'ambition est absente. Plus d'argent? Pas nécessairement. Plus d'ardeur, de cohésion, d'envie.
La remontada n'a pas eu lieu. Le film végète en milieu de tableau, ni bon, ni mauvais. De bons joueurs mais il aurait fallut un meilleur coach.
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le 21 janv. 2018
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