Et maintenant les belges envahissent l'Irak

Rien d'étonnant à ce que le cinéma belge soit encore à l'origine de ce film mêlant gravité, le cadre n'étant ni plus ni moins que l'Irak de 1988, et un burlesque flirtant avec Tati et Keaton.

On retrouve aussi beaucoup de l'esprit d'Elia Suleiman dans cette volonté de décrire le mal absolu, les douleurs de la guerre en passant par la fable.

Une preuve supplémentaire que la prise de risques est un élément fondamental de l'art.

* Festival international du film de Berlin 2011 : Prix Spécial Jeune Génération Meilleur Court-métrage