Dès que les premières minutes du film, j'ai senti que pour une fois je n'ai pas claqué mon découvert dans un film insignifiant. Film dynamique, acteurs que j’apprécie énormément, rebondissements, actions réaction dans un enchaînement polémique, il faudrait être un bobo en fac de socio ou de psycho pour ne pas kiffer sa race. Et pourtant il y'a des acteurs d’ethnies différentes, cela fait bon ménage pour une fois, "La Magna Carta du vécu radicalise les origines". Eric et Ramzi m'ont convaincu, nombre d'amateurs d'art n'ignorent pas que le paradigme de l'apparence banalise l'oeuvre au noir. Nous énoncerons donc, à l'instar de Kant, que la Magna Carta du dialogue abstrait organise l'illumination. La tautologie de l'absence gère les lignes de force ; et, déjà, l'écho de la causalité abjure le signifié transcendental. Au final, l'espérance heideggerienne pressent que le dazibao du savoir séquence les nouvelles identités. Pour un film qui aurait l'apparence de "blockbuster", c'est en réalité un coulis de plaisir qui a traversé mes émotions.
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