Après "Vends chien qui parle, 10 euros" *, voici donc une sorte de "Vends vache qui ne parle pas mais qui va mourir pour le plaisir de l'humain malade".
S'inspirant d'un fait (plus ou moins) réel, l'artiste hondurien Guillermo Vargas ayant été accusé en 2007 d'avoir laissé mourir de faim un chien pour les besoins d'une exposition, le réalisateur roumain Gheorghe Preda dresse un portrait acerbe de notre société moderne, du capitalisme "dévoreur de conscience" et de l'art contemporain.
C'est une pauvre vache qui vous le dit, les hommes sont devenus fous...
* http://www.senscritique.com/film/Vends_chien_qui_parle_10_euros/critique/22719072