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Quel rapport peut-il bien y avoir entre un flic de Hong-Kong débordé qui découvre qu'il est chargé de famille, une retraitée modeste qui veut placer son argent à la banque, un petit exécutant de la mafia qui doit réunir une caution pour son collègue emprisonné, et la crise financière Grecque ? Johnnie To y répond dans son dernier film, La vie sans principe (Dyut meng gam), où la crise financière qui nous touche au quotidien prend pour cadre les très dépaysantes rues de Hong-Kong. Je ne connaissais pas les films de Johnnie To. Le dosage entre les détails techniques du récit, les flashbacks, l'action, l'humour, le scénario construit comme un puzzle, est inattendu et réjouissant.
Gritchh
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le 12 mai 2013

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