Film sans prétention qui réussit le tour de force de nous parler des atermoiements intime d'un bobo parisien en le plaçant en face de tout ce qu'il y a de plus figé dans la société égyptienne : le clergé et les campagnes.
Et ce double documentaire, sur le narrateur comme sur le monde d'où il vient, parle au final de mondialisation et de ce qu'Amin Maalouf traite dans "les identités meurtrière", à savoir des mondes qui se marient sans jamais se fondre, et qui sont à la foi source de désarroi et d'un regard dépouillé et humain sur le monde, sauvé ici par l'humour.
un traité de savoir être et de paix, précaire et émouvant, j'attends la suite !