Quel film… Je fini bien volontiers comme l’un des personnages principaux, en vomissant.
Vomir la part d’humanité glaçante qui nous est présenté dans ce film. Qui rappel, et c’est bienvenu en ces temps sombres, l’horreur de la seconde guerre mondiale.
Un travail monstrueux, au sens propre et figuré, sur le son du film. Permettant ainsi de contraster aisément entre la belle demeure, les jolies fleurs et les cris, la cendre, le génocide qui se met en place au delà du mur du jardin.
Un film court mais efficace, qui nous montre à quel point l’humain peut faire preuve d’inhumanité, de monstruosité sélective presque schizophrénique.