journal de bord 1:
Le Bateau du capitaine Petersen jeta l'encre sur les rives de Netflix et alors que j'essayais de pécher tant bien que mal un bon film dans cet océan qu'est Netflix, mon regard s'arrêta sur se gros paquebot. J'étais en admiration devant cet engin dont tout le monde criait au chef d'œuvre, mais etant aussi craintif devant se mastodonte. C'est sur qu'il en imposait se bougre mais n'allait je pas m'ennuyer une fois monter a bord ? n'allait je pas avoir le mal de mer ? Après dix minutes d'admiration je vit un filet de bave tomber sur mon ordi.
- Bordel de mer… me fit je a moi même.
C'était le signe que j'attendais. Je pris mon courage a deux mains et monta a bord.
Journal de bord 2:
Bon ben voila a peine 10 minutes que je suis monté a bord et le mal de mer s'installe, alors que nous n'avons pas encore quitter la terre ferme. Mais bon voir des gens gueuler et dégueuler ce n'est pas trop ma tasse de thé. Je ne sais pas si je vais continuer l'aventure.
Fin de la première journée assez monotone. Demain nous devrions enfin voir le pays de Poséidon.
Journal de bord 3:
Enfin le grand jour. On me présente le capitaine Heinrich Lehmann Prochnow ( capitaine Addock pour les intimes ) ainsi que tout l'équipage. Tout le monde m'a l'air bien sympathique malgré l'allemand et ces foutus sous titres. Nous voila partis.
Le sous marin est étouffant mais l'ambiance est tellement bonne que je me laisse bercer par ses personnages hauts en couleurs. Les rares moments ou nous remontons a la surface me paraissent une bouffée d'air frais. Puis la vu quoi. Le silence a perte de vu et toute cette eau nous font paraitre tout petit. Les matelots chantent sur une musique a m'en faire frissonner.
Les jours passent et je ne veux plus quitter ses personnes si sympas. On croise même des alliés ( dont au départ j'avais pris pour une baleine sortant de l'eau et ceci mon cher cet un compliment ). Mais voila les ennuies commencent et sa ne va qu'en se dégradant. On étouffe. On retient notre respiration alors que les BIPBIP résonnent dans nos tètes. Pourquoi ne nous lâchent ils pas. Pourquoi tant d'acharnement ( on enlève le petit moustachu ok ? Parce que merde quoi nous on veut juste rentrer baiser. ) ? Le calme reviens enfin, on décide de surgir de l'eau tel la sirène de Doctor Who. Merde c'est qui ces mecs. Mais cassez vous bordel. Finalement on assiste a un drame dont mes coéquipiers et moi même ne nous remettrons pas.
La suite de l'aventure est plus calme, on peut enfin souffler, enfin admirer l'extérieur, même si le capitaine a l'air inquiet. Il nous faudra passer par le détroit de Behring et a s'quip sa grouillerais rosbifs.
Nous voila relancer a l'aventure sans nous soucier du futur. Nous voila arriver a se fameux détroit ou inspectent des dizaines de bateaux Sherlock. Comment allons nous passer ? Heureusement se bon vieux capitaine ( Haddock ) trouve la solution assez rapidement.
Journal de bord 4:
Nous voila poursuivi sans échappatoire, on decide de foncer dans le tas tel un phacochère en mode survit. Les salauds ils nous ont toucher. Plus moyen de reculer, on ne fait que descendre dans les profondeurs sombres de l'océan. La taule du sous marin craque de tous les coté. Au moment ou on croit que c'est fini, tout lâche. Je vois tout ses braves matelots faire tout leurs possible pour réparer se fichu sous marin bloquer dans les profondeurs. On étouffe de plus en plus, c'est intenable. Allez les gars, vous pouvez vous en sortir merde. Non Addock t'as pas le droit d'abandonner comme sa.
Journal de bord 5:
Notre fameux capitaine a enfin trouver une solution , nous revoila dans la course et je doit bien l'avouer que j'ai eu affreusement peur presque en mode claustraux.
Journal de bord 6:
Enfin arriver a bon port. Enfin libre. Enfin on peut souffler, enfin je peux souffler. Après toutes ses aventures, sa fait plaisir de voir mes compagnons de route heureux de retrouver la lumière du jour, de rentrer chez eux. Sa me met presque la larme a l'œil. Mais bon il faut apprendre a leurs dire au revoir. MAIS QUE QUOI… après avoir vécu toutes ses histoires, survécus autant de fois on ose m'achever ainsi.
Journal de bord 7:
Je me suis reposer sur mes lauriers pensant que ses héros pouvait braver mille et une tempêtes tout en restant debout oubliant que se film est un drame humain et non un Marvel, que les plus belles histoires finissent en tragédies. Je quitte se Bateau avec le cœur lourd, pensant au départ juste passer un bon moment pour au final m'en rendre compte que j'ai assister a un des plus beau drame cinématographique.
On vit avec les personnages leurs aventures, on embarque avec eux, on ressent les emotions pour n'en ressortir qu'au moment ou le generique apparait. Plus qu'un film on plonge literralement avec cet equipage de la seconde guerre mondiale