Huis-clos marin
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le 11 juin 2022
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Sorte de série B. à l'ambition plus réduite que les précédents films de Skolimowski, "le Bateau Phare" triomphe là où la Série B. classique le faisait en sont temps : grâce à sa mise en scène au cordeau (la caméra de Skolimowski semble se faufiler en douce dans les recoins les plus secrets et les plus sombres de territoires coupés du monde, pour découvrir des hommes affairés à des tâches minuscules et vitales et surprendre leurs machinations grotesques ou diaboliques) et à ses interprètes (et en premier lieu, Robert Duvall, qui crée ici un mémorable personnage de psychotique sophistiqué et lunatique). [Critique écrite en 1986]
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Créée
le 16 janv. 2017
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