Critiques de Le Beau rôle

lepetitbreton
7

Critique de par lepetitbreton

Une romance sur fond de théâtre versus cinéma, qui fait la part belle aux deux protagonistes, amoureux transits qui vivent leur première rupture avant de se reconstruire l'un sans l'autre, et de...

le 3 déc. 2024

7 j'aime

Cinephile-doux
6

Romance amère

Toute comédie romantique, fût-elle nuancée d'amertume dans Le beau rôle, se doit de respecter une règle intangible : faire en sorte que l'alchimie du couple fonctionne, toutes divergences bues. La...

le 18 déc. 2024

6 j'aime

Cellophane
7

Critique de par Cellophane

Allez, c’est charmant, j’ai pas un bon moment.Les comédiens sont super justes et subtils dans leur jeu, Williamb Lebghill est parfait dans le rôle du mec paumé, Vimala Pons est hyper variée et...

le 8 déc. 2024

4 j'aime

DKLait
8

Critique de par DKLait

Trop bon moment, ptite chialade à la fin

le 10 déc. 2024

2 j'aime

Selenie
7

Critique de par Selenie

Le premier constat qui peut paraître un détail mais qui est essentiel au genre : le duo fonctionne parfaitement et même idylliquement tant l'alchimie entre les deux acteurs sert avec complicité et...

le 23 déc. 2024

1 j'aime

chloelhy
8

Super film !!

Super film, complètement servi par un scénario fin et drôle, qui s’attache à démontrer qu’un couple peut-être un, tout en étant composé de deux individualités différentes, accomplies, avec un ego,...

hier

Christoblog
5

Comédie de remariage drôle et piquante

Bon petit film français qui hésite entre romcom piquante et réflexion sur les métiers du spectacle, Le beau rôle n'est pas désagréable à regarder.On se foutrait cependant des péripéties assez...

le 30 déc. 2024

Eldopat
5

Acteurs, créateurs, réalisateurs, amateurs en galère

Cette petite comédie romantique s'essouffle très vite. Théâtre-cinéma : "je t'aime moi non plus". C'est gentillet mais peu convaincant. La mise en abyme repose sur un scénario minimaliste.

le 29 déc. 2024

chatcaquetant
6

De l’art des rôles, dans la vie et ailleurs

Une des qualités du film, c’est de parler du narcissisme des acteurs sans tomber dans le nombrilisme, ni le cabotinage (et l’énergie) des Ogres (Léa Fehner) illustration plus criante de la dévoration...

le 26 déc. 2024