L’eau et les trêves
Deuxième volet d’une trilogie consacrée au Chili après Nostalgie de la Lumière, Le bouton de Nacre en reprend les grands principes : mêler l’observation de l’immensité naturelle à l’Histoire...
le 17 nov. 2020
8 j'aime
Avec ce bouton , une culture et un savoir des plus admirables disparaissent, s'éteignent ,pour laisser place,au prix de l'extermination de ces indiens de Patagonie de toute beauté, à ce qu'on nomme la civilisation moderne et dont on a du mal à être fiers, si toutefois ,on l'était ,en voyant la dernier plan de ce grand documentaire.
Je n'ai pas vu "Nostalgie de la lumière",le premier volet du diptyque mais cela ne m'as absolument pas gênée, ,par contre envie de le voir pour le coup.
On ne lâche pas ces images, ni ces témoignages des 20 indiens rescapés de ce génocide, ni les rescapés des dictatures chiliennes pendant cette heure trente,qui paraît si courte,on aurait aimé,comme on sait si bien nous en servir aujourd'hui,un documentaire qui fasse des prolongations et se plonger dans une bonne demi-heure de plus.
Ce bouton de nacre contient une poésie qui ne peut que bouleverser le spectateur sensible à l'harmonie établie entre certains hommes et la nature
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à sa liste Mon top 2015
Créée
le 7 nov. 2015
Critique lue 172 fois
D'autres avis sur Le Bouton de nacre
Deuxième volet d’une trilogie consacrée au Chili après Nostalgie de la Lumière, Le bouton de Nacre en reprend les grands principes : mêler l’observation de l’immensité naturelle à l’Histoire...
le 17 nov. 2020
8 j'aime
Je n’ai découvert que cette année Patricio Guzman, par l’intermédiaire de Nostalgia De La Luz. Et déjà cette première rencontre fut un choc. Un choc visuel mais surtout un bouleversement émotionnel,...
Par
le 12 nov. 2015
8 j'aime
Raconter l’Histoire du Chili à travers l’eau est une manière très originale de faire, et si l’entreprise s’avérait risqué, l’on constate que Patricio Guzmán s’en est plutôt bien sorti. En fait, la...
Par
le 2 janv. 2016
3 j'aime
Du même critique
Une invitation à la danse d'une poésie sans pareil. Tout en pudeur, tout en désir, tout en amour. Un film qui nous parle surtout des corps communiquants. Il est bien sûr question de danse, mais...
Par
le 2 nov. 2018
9 j'aime
2
Je l'ai revu aujourd'hui après tant d'années, 1977, et toujours aussi charmant. Diane Keaton si féminine dans ses vêtements d'homme, trop grands, ses jolis feutres sur la tête et ses trop grandes...
Par
le 26 sept. 2016
8 j'aime
2
Du grand Varda, du grand JR. Tout d'amour, de poésie, de visages, de villages, d'images, de gens, de chèvres avec ou sans cornes, d'artiste de capsules de bouteilles, de dockers, de femmes de...
Par
le 27 juin 2017
7 j'aime
4