Apocalypse snow
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C'est toujours agréable de plonger dans un film sans qu'il nous ai été trop vendu avant. j'ai découvert l’existence de ce film le matin et je le regarde le soir. Entre temps juste un tweet de David the filmtalker pour indiquer qu'il a aimer pour me conditionner.
J'aime beaucoup les survivants, c'est un film que j'ai revue il y a quelques années pour un podcast avec David the filmtalker justement. Une aventure poignante et forte avec sont lot de difficultés et de situation inextricables.
J'aime bien Bayona, je suis pas un disciple inconditionnel non plus. J'ai beaucoup aimé the impoossible mais je suis passé a coté de quelques minutes apres minuit.
Bref en une petite journée la hype c'etait emparée de moi.
Alors premiere chose. ça fait quand meme quelque chose d'avoir des uruguayens joués par des vrai hyspanique, qui parlent vraiment comme des uruguayens de 1970 !
C'est con hein, mais rien que ça ça creer un décalage primordial avec les survivants (je vais forcément comparer un peu les films)
Cette langue, ces physique et finalement les looks et tout le reste apporte un aspect beaucoup plus palpable au film. la reconstitution est évidente et donc je suis plongé dans le film beaucoup plus que dans les survivants.
Les scenes sont globalement intenses. Il y a une vrai maitrise de l’aspect sensationnel au sens premier du terme dans le cinéma de Bayona. J'ai eu froid, tres froid, j'ai eu faim, j'ai eu mal, j'ai eu de la peine et du réconfort en meme temps que certains personnage. On delaisse le cérébrale pour vivre les sensation éprouvé par les personnages du films.
Le crash d'avion est formidable de tension, de latence, et de violence. Un grand moment de cinéma.
J'ai beaucoup un certains twist narratif : celui de faire mourir le narrateur au bout de 1H20. j'ai eu l'impression de voir un procédé narratif neuf et ça c'est cool.
apres le contrecoup de l’aspect sensation c'est que j'ai eu peu d'attachement avec les personnages, j'ai souvent eu du mal a les différencier et impossible de faire le lien entre les scene du début du film et les scene post crash. Je n'ai jamais trop su qui étaient qui a part le capitaine et le joueur qui fait une percé de rugby au début. Des ressemblances physique, une absence de marquées de caractérisation et une non volonté d'éxploiter les conflit inter personnages m'ont par moment un peu perdu. C'est c'etait pas temps un mal. Car ça m'a permis de me plonger dans ce groupe un peu comme le narrateur. Sans trop connaitre les gens et de les découvrir faces aux evenements.
J'ai presque versé une larme a la fin et ça c'est toujours un bon signal
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le 8 janv. 2024
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