Je n'ai malheureusement pas encore eu l'occasion de lire le roman, à mon grand regret, mais malgré cela Peter Weir a réussi à me conter l'émouvante année à Welton du jeune professeur Keating tel un gosse ébahi par l'histoire qu'on lui raconte le soir au pied du lit. Si certains peuvent critiquer le manque d'objectivité, on appréciera tout de même l'utilisation de la poésie qui viendra ici casser les chaînes du conformisme et offrira à ces jeunes une source d'inspiration les menant tout droit à leur propre épanouissement. Ô chère poésie si vous pouviez, par cette même force, inspirer la louche d'abrutis qui peuple cette planète.
Foliok
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le 6 juin 2012

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