Dernier opus en date du remake ricain de la trilogie Samara réalisé par le novice cinéaste espagnol, F. Javier Gutiérrez (Before the Fall). Exit le casting survivant des deux premiers volets ainsi que l'ancienne équipe technique, reste seulement la société de production Vertigo Entertainment qui récupère le bébé maudit pour un budget divisé par deux à 25 millions de dollars pour un box-office également divisé par deux rapportant quand même 83 millions de dollars de recettes mondiales. Un dernier volet sur les origines de Samara Morgan bien dans son époque passant de la veille VHS maudite à la vidéo virale damnée sur Internet !
Un professeur d'Université achète un vieux magnétoscope dans une brocante et y trouve la fameuse cassette démoniaque, censée tuer celui qui la regarde au bout de sept jours !
Au casting flambant neuf, Matilda Lutz (Summertime, Revenge), Alex Roe (La Cinquième Vague, Forever My Girl), Johnny Galecki (Le sapin a les boules, Time Out), Vincent D'Onofrio (Full Metal Jacket, Death Wish), Aimee Teegarden (Scream 4, Prom) et Bonnie Morgan (The Devil Inside).
Sept jours !
C'est bientôt la période scolaire, Julia ne pourra plus voir aussi souvent son amoureux Holt qui va étudier dans une autre ville. Lorsque la jeune femme est sans nouvelles de son compagnon, elle décide d'aller le rejoindre. Holt a de gros problèmes, surtout depuis qu'il a regardé un enregistrement. Cette malédiction lui laisse sept jours à vivre, à moins qu'il ne montre la vidéo à quelqu'un d'autre. Julia décide de le sauver en se sacrifiant, ce qui ne donne pas l'effet escompté. Une marque est apparue sur la paume de sa main et elle a découvert des images inédites dans la vidéo. En suivant ses visions, peut-être pourra-t-elle élucider le phénomène.
Avoir une vision, ça ne veut pas dire comprendre ce qu'il signifie !
Ce dernier cercle revient aux origines de la petite fille trempée et contorsionniste en terrain familier avec les sept jours fatidiques, une intrigue qui se déroule treize ans après le second chapitre. Commençant par une première scène ou une victime est au bout du décompte mortel dans un avion, l'œuvre me fait penser dans sa première partie à Destination Finale. Cependant l'histoire rebondit du visionnage de la cassette à la lecture de fichier, voyant notamment Samara sortir d'un écran de PC ou de téléphone ! Mais à aucun moment Le Cercle - Rings procure un seul vrai frison, le récit n'exploite jamais le plein potentiel qu'il possède entre ses mains ! La renaissance de la franchise s'éveille seulement dans son final transformiste dans ses cinq dernières minutes.
C'était votre fille !