Résumé : Rachel, journaliste, est déterminée à éclaircir le mystère de la mort de sa nièce. Elle est à la recherche d'indices dans une cabane où sa nièce s'est amusée avant de mourir, et elle découvre une vidéo mystérieuse. Mais chaque fois qu'on visionne la vidéo, la mort surgit après une semaine, Rachel engage un contre-la-montre pour remonter à l'origine de la vidéo.
Histoire : Au début du casting, la production et le réalisateur sont à la recherche d'une actrice talentueuse, même si elle n'est pas célèbre. Ils se décident pour Naomi Watts, et ils demandent de jouer en se retirant de l'image pour accroître l'immersion du spectateur, mais avec un panel d'émotions impressionnant pour ajouter de la peur au récit. Pendant le tournage, l'actrice parvient à conquérir l'équipe qui décide de réaliser un film d'actrice, avec une intrigue centrée sur l'actrice. La performance renforce les compétences du personnage pour encourager le spectateur à revivre les mêmes événements, en rendant l'action plausible. Pour le conjoint qui n'arrive qu'à la fin de l'intrigue, c'est une remise en question qui le pousse à prendre ses responsabilités, avec une star de séries en Nouvelle-Zélande. Les éléments techniques impliquent de donner une couleur verte à l'image pour une vision peu naturelle, et de ne pas ajouter d'ombres afin d'augmenter la peur. Il est considéré comme le remake le plus rentable, et il explose les ventes de vidéos en moins d'une semaine. Réalisé avec un budget de 48m$, il rapporte 450m$ et reçoit aux Saturn awards, le prix du meilleur film d'horreur, et de la meilleure actrice.
Équipe : Adapté d'un roman et remake, réalisation de Gore Verbinski connu pour Pirates des caraïbes. Production de Laurie MacDonald connue pour Men in black, et Walter Parkes connu pour l'écriture de Wargames. La musique d'Hans Zimmer connu pour Gladiator, Dune. Les effets de Burt Dalton connu pour Star trek. Côté casting, Naomi Watts, Martin Henderson, Brian Cox, Linsay Frost.
Avis : Une légende morbide avec l'enquête sur un objet maudit qui s'entoure d'émotions dans une dimension à la fois surnaturelle et paranormale. L'intrigue classique se voit dotée de beaux effets, mais les détails trop complexes gâchent l'ensemble. Le rythme instable entraîne des moments sans intérêt qui perdent leur cohérence en raison d'un manque d'explication avec peu de personnages.
Critique : Le logo Dreamworks projette une image de jeunes personnages racontant la légende d'une vidéo mystérieuse, dans une ambiance effrayante. La longue mise en route plonge dans l'horreur avec des images-chocs qui effectuent une transition sur le personnage. La vie d'une mère célibataire avec son fils opère la transition sur la scène du début, pour revenir à l'étrange affaire. La belle réalisation aux images soignées relance l'intrigue dans le deuil de la jeune qui emmène à trouver des réponses, en enquêtant sur l'étrange décès. Le personnage est à la recherche d'informations avec les jeunes amis qui reviennent au cœur de l'étrange maléfice, en exposant des éléments légers. L'investigation rassemble les pièces du puzzle avec de nombreux décès qui ont suivi l'affaire, pour aboutir à l'endroit du drame.
Les détails jouent avec une atmosphère qui ne suffit pas à rendre l'affaire crédible, malgré l'esthétisme irréprochable. Le rythme lent mené à grande vitesse contraste les phénomènes, en dévoilant la vidéo abominable. La malédiction démarre pour une échéance de 7 jours, avec un premier jour d'événements troublants. Le phénomène s'amplifie en poursuivant l'investigation dans l'analyse de l'enregistrement qui révèle des éléments incroyables en augmentant l’intérêt du récit. Les jours défilent en refermant les issues aux effets superbes, qui donnent les premiers résultats, pour conduire sur une île perdue. Une autre affaire remonte à la surface en rejoignant la vidéo mystérieuse, qui continue les apparitions inquiétantes du personnage. La malédiction s'accélère en conservant une réalisation complexe et maladroite, qui rassemble les personnages.
Les émotions se manifestent sur l'île mystérieuse, en poursuivant le ballet qui mène à la demeure du maléfice. Les origines de l'affaire s’enfoncent dans une histoire morbide, avec un style de thriller terrifiant. L'enquête libère des révélations qui déchaînent l'horreur, en ramenant au point de départ pour se rapprocher du dénouement avec une dernière pièce du puzzle. Les couleurs de l'aventure apparaissent avec le final sublime et épouvantable qui va au bout du sujet, dans un film qui exploite tous les artifices pour parvenir à une ambiance mystérieuse, mais avec des idées peu crédibles. Le rythme lent cherche à trouver un rythme cohérent, mais les effets gâchent l'ensemble dans une sorte de vision psychologique bas de gamme. La longue histoire s'enveloppe de facilités qui ajoutent de l'invraisemblance à cette œuvre graphique sans intérêt.
> https://youtu.be/DvvhLPq_kFk?si=yoMzFBLXMVLTLuoI