Le Château de ma mère par -Marc-
Décidément, Yves Robert excelle à transcrire l'univers de Pagnol.
A l'humour et la tendresse des souvenirs de "La gloire de mon père", s'ajoute ici le drame: « Telle est la vie des hommes. Quelques joies très vite effacées par d’inoubliables chagrins. »
Et toujours cette évocation d'une France simple, honnête et travailleuse de ce début de 20ème siècle: "Et il répétait sans cesse: «Comme on est faible quand on a tort». La vie m'a appris qu'il se trompait, et qu'on est faible quand on est pur."
A la simplicité du premier opus, s'ajoute ici des réflexions beaucoup plus profondes.