La détestable musique extradiégétique du générique n’annonce rien de bon.
Cette adaptation à grand spectacle, réalisée pendant l’occupation, est loin d’égaler celle de 1929.
La mise en scène est tristement statique. Les acteurs récitent de longues tirades, plus explicites que celles du roman, en jouant de manière très théâtrale. Ce sont hélas des défauts cinématographiques fréquents.
Il semble que Victor Arménise, le directeur de la photographie, ne connaisse presque exclusivement que le plan rapproché. Ce qui lasse sur la durée.
Je m’ennuie, je m’ennuie, je m’ennuie...
Lire :
- Article Où va le cinéma ?, Ciné Monde.
- Article Films bavards vs non bavards, Ciné Monde.
- Dossier Films bavards, Monde en Question.