Curd Jurgens, a réussi un exploit cinématographique : faire oublier l’origine théâtrale justement. Le grand Curd obtint d’ailleurs le grand prix de l’interprétation masculine au festival de Venise 1955.
Fritz Lang lui même a adoré ce film alors qu'il détestait le cinema allemand de cette époque
Ce bon Film sur l'Histoire d'un homme ( qui a réellement existé , le genéral Ernst Udet) complétement détaché du régime qu'il était sensé servir . Les désaccords avec sa hiérarchie ,Les méfaits des nazis ,Les revers de l'Armée Allemande entrainèrent sa perte.

Chicago
7
Écrit par

Créée

le 18 janv. 2017

Critique lue 448 fois

2 j'aime

Chicago

Écrit par

Critique lue 448 fois

2

D'autres avis sur Le Général du Diable

Le Général du Diable
ATON2512
5

Attention propagande pour ce film qui signe le retour du cinéma allemand

De Helmut Käutner (1955).1955 est la date d'un certain retour du cinéma allemand .Pour autant le film pose de nombreuses questions tant il porte un regard tronqué sur l'histoire récente du pays à...

le 8 mars 2024

2 j'aime

Le Général du Diable
Chicago
7

Curd le Magnifique !

Curd Jurgens, a réussi un exploit cinématographique : faire oublier l’origine théâtrale justement. Le grand Curd obtint d’ailleurs le grand prix de l’interprétation masculine au festival de Venise...

le 18 janv. 2017

2 j'aime

Le Général du Diable
TL2687
6

Critique de Le Général du Diable par TL2687

Ce film de 1955 paraît antédiluvien avec son image en noir et blanc et ses acteurs quasi disparus comme : Curd Jurgens (1915 – 1982 / 67 ans) crédité d’une filmographie impressionnante, Marianne Koch...

le 9 mars 2024

1 j'aime

Du même critique

Delphine et Carole, insoumuses
Chicago
8

Un vrai combat bien avant Me Too

"C’est l’histoire d’une grande amitié entre deux amoureuses de l’image, l’actrice Delphine Seyrig et la vidéaste Carole Roussopoulos. Quelques mois avant sa mort (en 2009), celle-ci décide de faire...

le 31 janv. 2020

9 j'aime

1

Un peu de soleil dans l'eau froide
Chicago
9

Une femme admirable et bouleversante

Inconnue, elle était ma forme préférée, Je n’avais pas le souci d’être un homme, Et, vain, je m’étonne d’avoir eu à subir Mon désir comme un peu de soleil dans l’eau froide. Paul Eluard. Lassé de sa...

le 6 déc. 2015

8 j'aime

L'Été en pente douce
Chicago
7

L'été meurtri !

"L'été en pente douce" est plus un film d'atmosphère que d'autre chose. Ici, pas de scénario poussé très loin, pas de grandes intrigues. Mais tout y est juste, la jalousie, la bêtise, la rivalité, la...

le 3 sept. 2016

8 j'aime