La fin des 60's et la libération des moeurs s'incarnent dans ce film sous un aspect relativement fantasmé. Le film est très décousu avec des incohérences justifiées trop facilement par l'émancipation de l'époque, les personnages passent d'un conformisme craintif à la passion débridée après un seul rencard.


La musique de Simon et Grafunkel installe l'ambiance parfaite mais au niveau variété c'est pas très foulant, ok la chanson s'appelle Mrs. Robinson mais la passer en boucle sans aucun autre thème c'est limite.
La réalisation de Nichols est vraiment novatrice pour l'époque même si elle fait un peu trop ostentatoire aujourd'hui. Mais quoiqu'il en soit la dernière scène subversive du film nous laisse sur une sacrée note de fin.

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le 1 déc. 2014

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archibal

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