Dès qu’apparaît le personnage de Jean [14’56], le film tombe dans l’artificialité que les dialogues en anglais non traduits (le comble de la prétention) annonçaient avant même le générique.
Si le jeu de Philippe Volter est agaçant, celui de Anne Roussel est inconsistant.
La musique diégétique de l’opéra devrait être au centre du film, mais elle s’encombre de discours, une spécialité désastreuse du cinéma français.
La photographie de Walther van den Ende ne sauve rien car elle sert moins les différentes intrigues que la promotion du Château de Chimay pour les agences de voyage.