The bat (1959)
Difficile d'écrire un roman quand un tueur mystérieux vous mate.
Les forces de l'ordre on l'air de ne pas êtres efficaces, malheureusement sa se constate.
Que faire lorsque un homme entre et sort sans que personne ne l'attrape.
Qui pourrait bien se cacher derrière l'identité de The bat.
Bonjour à tous amis de l'angoisse, aujourd'hui attaquons nous à The bat de Crane Wilbur à qui nous devons Tomorrow's children, Pénitencier du Colorado ou encore Les révoltés de Folsom prison. Une écrivaine célèbre va louer une villa afin de trouver de l'inspiration, malheureusement pour elle, cet endroit subit les assauts d'un assassin mystérieux surnommé 'La chauve-souris', ce dernier semble toujours être là afin de faire d'autres victimes, ou bien cherche t'il un bien plus précieux. Une histoire très bien écrite que nous avons là avec une enquête policière qui nous fait nous poser 2 questions durant tout le film, qui peut bien-être ce mystérieux tueur et ou se trouve l'argent tant convoités, les décors sont basiques puisque tout le film se passe dans cette maison mais restent agréables, les effets ne sont pas incroyables pour le peu qu'il y en as mais le visuel du tueur est plutôt sympathique et nous offre quelques moments de frayeurs, l'intrigue offre des rebondissements et il n'est pas si aisé de trouver le coupable du premier coup tant les possibilités sont grandes. Au niveau des acteurs je n'ai pas trouvé de mauvais jeux, Vincent Price incarne toujours ce personnage ambigu mais constamment agréable à côtoyer, Agnes Moorehead investit son personnage de femme forte décidée à ne pas se laisser faire sous les traits de l'écrivaine Cornelia et même Lenita Lane est attachante dans le rôle de la gouvernante morte de peur. Bref une très bonne surprise que je vous conseille si vous aimez ce genre de polar noir avec une flopée de bons acteurs, allez tchuss crevez tous mouhaha 😈😈😈.
Cornelia Van Gorder, une célèbre écrivain, loue avec son assistante Lizzie un manoir surnommé le Nid du Faucon. Un tueur masqué, appelé la Chauve-souris y fit régner la terreur.