Le jet d'ail.
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Les aventures du moine ne sont pas toutes très bonnes. Il faut dire que le personnage est vraiment calqué sur celui de Zatoichi et que cette copie fait pale figure à côté du modèle original. Ce volet reste clairement de la série b, mais il fonctionne déjà bien mieux que d'autres films de la saga. Comme toujours il n'y a pas de surprises avec le scénario, on retrouve le personnage embarqué malgré lui dans une chose qui ne le regarde pas. Cette fois-ci sa route va le faire croiser un ami d'enfance avec lequel il faisait de grands projets. Lui devait devenir un grand moine et son ami le plus grand guerrier des montagnes. Mais ni l'un, ni l'autre n'auront la destinée imaginée. Le moine est un homme lubrique attiré par le jeu, quant à son ami il n'a jamais réussi à faire quoique se soit. Cet homme est devenu un brigand prêt à tout pour avoir de l'argent. Les deux hommes vont s'affronter sous fond d'un patron qui exploite ses employés. L'amitié d'hier n'est plus qu'un lointain souvenir, si elle compte encore pour le moine son ami n'a plus rien à voir avec l'enfant qu'il était et avec les rêves qu'il chérissait. La concordance avec Zatoichi est encore plus flagrante ici qu'ailleurs car le moine perd la vue. On retrouve tous les ingrédients habituels au genre, des combats, des hommes tyranniques, une belle femme qui fait tourner la tête du moine dont elle veut l'argent. Et bien évidemment du drame et des litres de sang pour mettre fin au règne d'hommes corrompus jusqu'à l'os.
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Créée
le 8 mars 2021
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