Un torture-porn nippon
Kyôfu joshikôkô : bôkô rinchi kyôshitsu (1973) de Noribumi Suzuki est une oeuvre rare et inédite en France, de la "sexploitation" nippon au titre très évocateur : Le Pensionnat des jeunes filles...
Par
le 1 mai 2011
1 j'aime
Ceux qui ont vu Le couvent de la bête sacrée savent à quoi s'attendre, ceux qui ne le savent pas : voici quelques caractéristiques : des jeunes filles souvent dévêtues et des sévices corporelles qui en plus d'être bien torturée sont aussi incroyablement graphique.
Bref c'est du pur film d'exploitation mais réalisé avec un vrai talent d'artisan et un sens aiguisé de l'image.
A prendre au troisième degré bien sur (quoique la fin serait presque féministe) mais c'est vraiment fun dans le genre de petit plaisir BIS bien pervers
Créée
le 3 févr. 2017
Critique lue 937 fois
D'autres avis sur Le Pensionnat des jeunes filles perverses
Kyôfu joshikôkô : bôkô rinchi kyôshitsu (1973) de Noribumi Suzuki est une oeuvre rare et inédite en France, de la "sexploitation" nippon au titre très évocateur : Le Pensionnat des jeunes filles...
Par
le 1 mai 2011
1 j'aime
J'adooore ce titre. Bon, le scénario est franchement power portnawak (il peut tout se passer d'une scène à l'autre, comme une baise lesbienne dans les WC, une motarde qui rentre en classe pour lancer...
le 5 mai 2020
Ceux qui ont vu Le couvent de la bête sacrée savent à quoi s'attendre, ceux qui ne le savent pas : voici quelques caractéristiques : des jeunes filles souvent dévêtues et des sévices corporelles qui...
Par
le 3 févr. 2017
Du même critique
L'ancien assistant de Kim ki-duk revient derrière la caméra après 6 ans d'absence. Il porte à l'écran une histoire vraie, elle-même plongée au cœur d'une page sombre de l'histoire sud-coréenne soit...
Par
le 22 oct. 2017
16 j'aime
1
N'ayons pas peur des mots : voilà un chef d'oeuvre déchirant. C'est une sorte de cousin Au Feu follet de Louis Malle avec cette solitude existentielle et son personnage dans une fuite en avant vers...
Par
le 8 oct. 2014
12 j'aime
2
Devenu extrêmement rare, cette adaptation de Henry James est pourtant une merveille d'intelligence et d'écriture grâce à la structure du récit et à l"évolution de sa mise en scène au travers de ses...
Par
le 17 avr. 2017
10 j'aime