L'homme descend du singe, Tomasi descend du panier de Basket
Depuis le péril jeune Klapisch et Duris ont fait du chemin. Sauf que Duris ressemble de plus en plus à une tête à claques Bobo et que Klapisch est moins rigolo.
C'est un film de branleur, fait par les branleurs pour les branleurs, For Us By Us comme disent les américains. Je me revendique Branleur donc j'adore, surement un des films français que je préfère de ces 15 dernières années. A l'époque Duris est frais et spontané, Klapisch est jeune et idéaliste, Vincent Elbaz joue un très beau rôle de couillon de compète. Merde, a-t-on fait un film plus pertinent que ça sur le lycée sérieux ? en plus, il évite l'écueil des bons sentiments, des troubles de la confiance en soit et en fait juste un portrait bien senti et assez drôle.