Un couple séparé formé d'Adam (Richard Berry) et de Mélanie (Anémone) est confronté à la maladie de leur fille Violette (Marie Kleiber).
Depuis la séparation de ses parents, Violette, 10 ans, vit avec sa grand-mère mais ses migraines répétées, ses pertes d'équilibre inquiètent son entourage et son père décide de lui faire passer des examens médicaux. Ceux-ci montrent que Violette souffre d'une tumeur inguérissable au cerveau et qu'il ne lui reste plus que quelques jours à vivre.
Pendant ce temps, Mélanie se trouve en Italie, pour une pièce de théâtre et elle apprend la maladie de sa fille alors qu'elle est en pleine répétition.
Adam réagit à la nouvelle différemment de la plupart des parents. Violette est condamnée. Elle n'ira pas à l'hôpital. Adam décide de vivre à plein ces derniers jours avec elle et l'emmène dans un long périple à travers la Provence et les Alpes pour rejoindre son ex-femme qui se trouve à Milan.
Ils se retrouveront tous ensuite dans leur maison de vacance. Ensemble, ils attendront la fin, reconstituant autour de l'enfant malade, la cellule familiale brisée par la séparation.
J'avais vu ce film au cinéma lors de sa sortie et il m'avait ému aux larmes. J'avais toujours souhaité le revoir tout en craignant d'être encore plus bouleversé que je ne l'avais été la première fois. Je me rappelais aussi que le film était fait d'une alternance de moments dramatiques, de révolte, de résignation, mais aussi de beaux moments de joie et d’enthousiasme. J'attends de pouvoir revoir ce film pour porter un jugement sur lui.