Vice-Versa
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Par
le 30 janv. 2020
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Je ne savais pas qu’un « film » aussi navetique pouvait exister. Un scénario incohérent, un rythme si mal géré que ça en devient drôle (les dialogues d’une énorme lourdeur sont ponctués de gros blancs gênants), des êtres imaginaires ridicules, des protagonistes psychologisés avec les pieds. Bref, la honte pour Omar Sy, Bejo et Hazanavicius. Incroyable de se dire que c’est le même réal qui a pondu les Oss 117. Pas la peine de perdre votre temps, même vos gosses roupilleront.
Créée
le 17 févr. 2020
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