Vice-Versa
Le Prince oublié occupe une place bien particulière dans la filmographie de son réalisateur. Il arrive après les triomphes populaires d'OSS 117 et The Artist, qui célébraient à leur façon le cinéma...
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le 30 janv. 2020
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Le genre de film que l’ont regarde enfant avant noël, pendant le gouter.
Le film à tout d’un mauvais Disney, des personnages clichés au possible, des musiques agaçante, des messages bien pensant à tout bout de champ.
Il semble qu’Hazanavicius ait voulu donner trois niveau de jeu à ses comédiens: bien joué dans la vie réel, mal joué dans le monde des histoires, et très mal joué quand les protagonistes des histoires vivent leurs aventures. Malheureusement les acteurs se perdent dans ces trois dimensions de jeu, et leurs jeu sonne bien souvent faux, on entend l’écriture du texte, ça transpire pas le naturel et l’authenticité.
Comment peut on s’attacher au personnage de Bérénice Bejo? Nous avons là un personnage vulgaire, qui coupe la parole, qui sait tout sur tout. On a du mal à croire que le personnage d’Omar Sy puisse tomber amoureux si rapidement d’elle. (Une soirée)
Le prince sera facile à oublier.
Créée
le 22 févr. 2020
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