L'essaim du Fox (une victime) et non pas Les Seins de Samantha ...

Ce film canadien sorti peu après la dissolution de la Motion Picture Association of America Production , comprend des scènes de nudité , de masturbation et d'activité sexuelle impliquant un homme (Keir Dullea) et une femme (Anne Heywood) et des relations physiques entre la première femme que j'ai cité et une autre femme (Sandy Dennis-bien que dans ce film , les deux actrices ne sont pas forcement présentés comme des lesbiennes contrairement à la bande-annonce qui lui annonce le contraire- ) . En gros ce drame parle de deux gonzesses ..pardon ..de deux femmes qui luttent pour subvenir à leur besoin en élevant des poulets (et leurs culs , c'est du poulet.. désolé , il fallait que je la fasse) dans une ferme isolée dans un Canada (non , je vais pas la faire la chanson de Line Renaud , laisse béton) rural . Le paysage (ou l'atmosphère) est beau , de couchers de soleil construite de froid et de neige ou la belle Ellen ( Anne Heywood - désolé celle l'a aussi je me devais de le faire-) fait la tâche de ceux qui en ont dans le pantalon (désolé , mon reflexe de macho à la con à ressurgi mesdames vous avez le droit de me cracher à la gueule non me cracher au cul -rendons à Michel ce qui est à Colucci- , ce que j'ai dis à votre propos était ignoble) ,couper du bois (à la Charles Ingalls) , réparer les clôtures et bien sur (car c'est l'intérêt du film sinon ça ne s'appellerait pas "The Fox") traquer et buter cette s***** de Renard qui vient bouffer gratos le poulet de nos deux goudous ( 46240 - Cœur-de-Causse - je me rattrape bien , hein!? Non conard , le mal est fait ...euh... la , grosse hésitation un seul ou deux haine ..euh.. N à con{n}ard ? ) ... Tandis que l'autre (fait attention à ce que tu vas écrire , elle t'on à l'œil vieux salop) ... Tandis que Jill (Sandy Dennis) , les pieds en éventail , s'occupe des taches ménagères et des finances ... Quel homme sur terre n'aurait pas rêver de faire ça (non seulement tu t'enfonces mais on te perd... vers -celle là aussi-) . Et c'est à ce moment (il n y a jamais de bon ou mauvais moment) qu'arrive la queue entre les jambes notre ami de marchand marin (Keir Dullea) ... En effet , son grand-

père qui fut l'ancien propriétaire de la ferme décéda un an plus tôt . N'ayant nulle part pour aller , il persuade nos deux héroïnes (Tu vois quand tu peux, tu arrives à écrire des choses belles sur la gente féminine et non l'agente féminine) de rester avec elles pendant quelques jours en échange d'une aide au travail . Voila , autant vous dire que ce film d'une heure cinquante m'a royalement ennuyer ... Je n'ai pas été convaincu par la relation amoureuse de Dullea et Heywood pas plus qu'à ce développement conventionnel de l'intrigue pour rassembler les deux amants . Mais ce qui m'a plombé le plus , c'est la musique de Lalo Schifrin https://www.senscritique.com/activity/2035889/6025172 ainsi qu'à cette chanson (dont je n'ai pas su pas retenir son titre) composé par Oscar Brand qui ne relève vraiment le pas niveau . C'est réellement une déception de la part de l'Argentin . Belle photographie des plans naturels certes , mais je n'ai pas été convaincu par l'ensemble du film (scénario et acteurs) . On est pas dans "Le Grand Silence" . Faut pas exagérer non plus , non plus ...