William Castel doit sa réputation à ses films « train fantôme » et aux gadgets qui les accompagnaient. Mais avant de se lancer dans cette veine ludique et lucrative, il était déjà un auteur de série B reconnu. Le « Serpent du Nil » revient sur la destinée tragique de Cléopâtre et Marc Antoine. Agréable petit péplum qui compense son manque de budget par un certain dynamiste, Castle prouve qu’il savait faire au mieux avec les moyens du bord. Rhonda Fleming y campe une Cléopâtre somptueuse, elle rend ses partenaires masculins bien fades.
Créée
le 16 déc. 2016
Critique lue 309 fois
1 j'aime
2 commentaires
D'autres avis sur Le Serpent du Nil
William Castel doit sa réputation à ses films « train fantôme » et aux gadgets qui les accompagnaient. Mais avant de se lancer dans cette veine ludique et lucrative, il était déjà un auteur de série...
le 16 déc. 2016
1 j'aime
2
Du même critique
Sur un sujet proche, Villeneuve réussit là ou son collègue Nolan avait partiellement échoué sur « Interstellar ». On y parle de l’intime et du collectif, de temps et d’espace, la temporalité étant...
le 8 déc. 2016
13 j'aime
2
Les bonnes causes ne font pas forcément de bons films. Ici le sujet est traité avec les gros sabots habituels du cinéma français. Scènes tire larmes suivies de leçons de morale ne laissant place à...
le 4 nov. 2016
11 j'aime
10
Un bon western classique, conçu initialement pour la 3D. John Wayne y campe un éclaireur métisse, ce qui ne semble pas évident à première vue, mais le bonhomme est tellement à l’aise dans ses bottes...
le 20 janv. 2014
11 j'aime
