Je suis resté stoïque après avoir visionné le sujet pour la première fois. à l'issue de celui-ci je n'étais pas sûr d'avoir cerné la problématique et encore moins l'idée où on voulait me mener.
À l'issue de celui-ci j'ai cru comprendre qu'il était ici question du travail personnel sur soi même. Par le biais des symboliques présentées de l'homme machine projetant et énonçant à l'aide d'images cellulaire et macro cellulaire et des symboliques ; on avait tout l'air d'avoir en face de soi une personne souffrant cherchant désespérément l'origine de ce mal en lui. ce court-métrage qui ma foi était finalement comme je l'ai énoncé précédemment aussi personnel pour le réalisateur qu' impersonnel pour nous, il va très loin dans ses symboliques, n'énonce pas forcément clairement ses objectifs mais on salue la performance et la prestation dans les effets spéciaux de cet homme fait de terre et de glaise qui se transforme miraculeusement en machine tantôt mécanique tantôt électronique aboutissant à une véritable œuvre du mal extrayant chaque minute des innombrables souvenirs relatés par l'auteur, à la recherche de celui qui le perturbe tant. L'esthétique de celui-ci est très réussite dût au stop motion réalisé pour faire un ensemble cohérent. je crois que ce n'est pas forcément quelque chose dans lequel on se retrouve tous mais dans lequel on peut se représenter c'est-à-dire que ceux sont des souvenirs qui sont très personnels à l'auteur dans lequel on va pas forcément se retrouver j'ai même tantôt cru par représentation de ses coups de canon de ces symboliques assez violentes, militaire, des murs de fer des barbelés des pompes à pétrole et surtout une Gatlin ; qu'il était ici question aussi d'un passé peut-être lié à guerre ce dont on aura pas la réponse. je pense ceci dit que tout le monde peut y trouver quelque chose, une forme de leçon à suivre pour extirper ses démons on peut donc saluer ce court-métrage pour ceci.