Les lucioles de Pasolini sont définitivement mortes
Intrigué par son précédent film, "A la lueur des désirs" (http://www.senscritique.com/film/A_la_lueur_des_desirs/critique/19637404), j'ai décidé d'aller voir immédiatement le film suivant de Jean-Pierre Larcher.
Et cela se confirme, le travail est à l'image de l'homme, singulier, difficilement cernable. On est à nouveau ici dans le documentaire, avec cette fois une tentation d'aller faire un tour vers l'expérimental. On y retrouve la nostalgie, la difficulté à comprendre ce qu'est devenu l'art, le rapport à l'autre.
C'est à la fois maladroit et profondément mélancolique, égo-centré mais aussi terriblement généreux.