De ce sentiment qui doit imprégner quelqu'un pour le faire changer d'avis radicalement.
Est-ce que quelqu'un se souvient de Dancer in the Dark après toutes ces histoires ?
Non parce que c'est un des films primordiaux pour comprendre le cinéma moderne, le cinéma, l'art en général, tous les imbéciles que y a sur cette planète.
Le pathétique, la pitié est un sentiment profondément avilissant pour tout le monde, subissant, passif actif, mon cul sur la commode.
Pour une fois je suis d'accord avec le N.
Ce n'est qu'un réflexe, pour les gens qui n'ont rien à faire de leur journée.
Qui ne font rien de leur journée, et qui essayent de se donner de la valeur en devenant végan.
Un peu comme beaucoup de choses vous remarquerez.
Si il y a beaucoup de films de merde qui sont sortes en séries chaque année, y'a beaucoup de bonnes actions de merde.
Voilà que j'ai pondu une page sans parler du film en question.
Me voilà devenu un véritable critique de films.
Les cailles du cinéma peuvent me recruter maintenant.
Je piaillerais pendant une heure sur des films qui en durent autant pour parler du café de la terrasse et de la soupe qui était froide, enregistrement intimes psychanalytiques publiés sur des sites random pour me sauver de mon aigreur.
Merde.
Je ne parle toujours pas du film.
Tout ca pour dire qu'il faut être violent dans ses images et sa mise en scène pour que ca rentre en toi, sinon ca s'appelle un tire-larme.
Et puis tirer quelqu'un sans son consentement c'est déjà un viol.
N'EST-CE PAS ??!!!!
Dancer in the Dark émulsait le truc de tous les cotés avec des danses qui s'annulaient avec les chants grégoriens, géorgiens, t'appelles ca comme tu veux, mon cul sur la machine à tricoter.
Une fleur qui pousse dans l'usine, pour flétrir dans les lieux de vie.
Là c'est deux fleurs qui poussent dans les champs, jusque là rien d'anormal, mais elles vont devoir pousser avec le sang de leur compatriote et les nutriments sortant de la dépouille de leur mère.
Une vie normale chez les confucéens, la prévalence du groupe jusqu'à s'écorcher.
Mais les gens ne se rendent pas compte à quel point tout le monde trouve ca normal dans le film.
Il n'y a pas de prévalence du groupe, de la nation, de la culture, de la civilisation, simplement de la communauté choisie pour être capable de rendre service à la nation qui nous en demande beaucoup.
Le preuve est que tout le monde rechigne à accueillir ces enfants qui sont leurs voisins ou leurs familles même les gens qui ont trop de nourriture.
Personne ne s'est jamais rendu compte de la véritable violence de ce film.
Forcé quelqu'un à exister, en plus des enfants, sans l'aide de quoi que ce soit avec toutes les portes fermées dans un monde compartimenter.