Elle perd la boule
Moyen. Il m'a été difficile de le voir sans penser au roman que j'ai lu l'été dernier si je me souviens bien, certaines séquences étaient donc encore fraîches dans ma tête. La structure n'était déjà...
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le 16 janv. 2020
Moyen. Il m'a été difficile de le voir sans penser au roman que j'ai lu l'été dernier si je me souviens bien, certaines séquences étaient donc encore fraîches dans ma tête.
La structure n'était déjà pas idéale pour le bouquin, alors en film c'est encore pire ; beaucoup de choses semblent reprises du bouquin directement, avec une certaine simplification dans les dialogues (vu que James aime bien étirer les échanges autant que les descriptions) ; ainsi, les textes sont un peu courts et les conversations paraissent peu naturelles tant chacun va anormalement à l'essentiel. L'on notera également que le réalisateur mise moins sur l’ambiguïté que dans le bouquin : ici, l'héroïne n'est jamais soutenue par les personnages secondaires lorsqu'elle voit les apparitions, alors que dans le bouquin il y avait un doute, du coup la folie du personnage principal paraît ici évidente. En soi, ce n'est pas une mauvaise idée, le hic, c'est que cette idée de folie n'est pas très approfondie, même si l'auteur a ajouté des flashbacks allant dans ce sens.
La mise en scène est inégale : quelques très bonnes idées, une ambiance gothique très plaisante, mais aussi quelques effets très cheap, des choix de montage discutables rendent certaines scènes un peu risibles. Les prestations sont toues un peu théâtrales, mais seules celles des enfants (qui ont quand même une bonne bouille) sont de mauvais goût. Enfin, la musique est un peu trop envahissante et pas toujours adéquate.
Bref, décevant malgré quelques bonnes idées.
Créée
le 16 janv. 2020
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le 16 janv. 2020
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