6 1/2 buildings
Bien vite balayées, les mondanités laissent place sans coup férir à d'acerbes échanges, fielleux et assassins. Le ton est noir, la lumière tamisée. L'obscurité fait loi, dans les cœurs et les...
Par
le 20 mai 2014
16 j'aime
7
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Plastique et formaliste, OFNI (Objet Filmique Non Identifiable), Film dont la ville est un des protagonistes, Vus en 2014 et Les films les plus obscurs
Créée
le 11 févr. 2015
Critique lue 1.3K fois
21 j'aime
8 commentaires
D'autres avis sur Le Ventre de l'architecte
Bien vite balayées, les mondanités laissent place sans coup férir à d'acerbes échanges, fielleux et assassins. Le ton est noir, la lumière tamisée. L'obscurité fait loi, dans les cœurs et les...
Par
le 20 mai 2014
16 j'aime
7
Film très riche, luxuriant, abondant, d’un abord difficile aussi (que certains pourront juger verbeux et monotone, sans que l’on puisse s’en offenser), Le ventre de l’architecte de Peter Greenaway...
Par
le 1 nov. 2012
11 j'aime
Oh my gode! Depuis combien de temps je n'avais pas autant intellectuellement pris mon pied devant un film??? Après avoir vu les classiques de Greenaway que sont The Draughtman's Contract et The Cook,...
le 29 juin 2015
6 j'aime
Du même critique
Cantine d’EuropaCorp, dans la file le long du buffet à volonté. Et donc, il prend sa bagnole, se venge et les descend tous. - D’accord, Luc. Je lance la production. On a de toute façon l’accord...
le 6 déc. 2014
773 j'aime
107
Il y a là un savoureux paradoxe : le film le plus attendu de l’année, pierre angulaire de la production 2019 et climax du dernier Festival de Cannes, est un chant nostalgique d’une singulière...
le 14 août 2019
714 j'aime
54
La lumière qui baigne la majorité des plans de Her est rassurante. Les intérieurs sont clairs, les dégagements spacieux. Les écrans vastes et discrets, intégrés dans un mobilier pastel. Plus de...
le 30 mars 2014
616 j'aime
53