Tout dans ce film est somptueux : le gigantisme des décors (Wiliam Cameron Menzies), les costumes (Mitchell Leisen), la photographie (Arthur Edeson) et bien-sur les effets spéciaux d'Hampton Del Ruth, tellement réussis pour l'époque qu'ils avortèrent toute prétention d'en faire un remake pendant seize ans (avant que Powell ne s'y attelle).
Walsh fait s'accumuler les péripéties pour notre plus grand bonheur, et celui de Douglas Fairbanks (également scénariste) qui semble s'amuser autant que nous, et signe là un coup de maître empreint d'une poésie que je ne le lui connaissais pas.
Un grand film de plus dans sa prolifique carrière.
Mention spéciale à l'artiste qui a créé l'affiche.