Director’s cut
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Dans Lee Rock II, Lawrence Ah Mon poursuit son biopic déguisé. On y découvre dans ce volet l’aboutissement de ce à quoi Lee Rock a contribué. En somme, une certaine forme de légalisation du jeu, de la prostitution et du trafic de drogue. Situation intéressante et peu commune, on en conviendra. Bien entendu, pour préserver la bonne image qu’Andy Lau façonne à son personne, on ne verra jamais les conséquences néfastes de cette « légalisation ». Lawrence Ah Mon préfère nous montrer le faste dont jouit Lee Rock entre montagne d’argent, jolie demeure et beaux costumes. Encore plus dans cette partie que la précédente, on a parfois le sentiment d’avoir à faire à de véritables gangsters et non policiers, et ce, jusque dans les mimiques ou l’opulence dont ils abreuvent leur entourage. On n’oubliera pas non plus le face à face que Lee Rock s’offre avec Ngan Tung (Paul Chun Pui). On a parfois l’impression de voir une confrontation entre deux chefs de triade. A la différence de la première partie, celle-ci nous offre une scène de gunfight qui colle moins avec le ton réaliste de l’ensemble du film. Une scène qui parvient à maintenir une certaine tension jusqu’au dénouement. Un dénouement qui en terminera logiquement avec ce système de corruption mise en place par un Lee Rock ressemblant pour toujours à un « Don » invaincu.
(voir peloche et + : https://hongkongmovievideoclub.wordpress.com/2012/08/06/lee-rock-and-lee-rock-2-1991-lawrence-ah-mon-avis/)
Créée
le 13 avr. 2013
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