La fille qui court
Le monde se divise en deux catégories : ceux qui aiment Anaïs Demoustier et ceux qui ne la connaissent pas (un petit plus nombreux, peut-être). Pour les premiers, Les amours d'Anaïs, titre parfait, a...
le 16 sept. 2021
18 j'aime
Qui ne voudrait pas être Denis Podalydès ? En 2020 il se tape Anaïs Demoustier et en 2021 il se tape Léa Seydoux ! Moi aussi je veux vieillir et me taper des trentenaires sexy !
L'idée n'est pas vilaine et le personnage principal est exploité avec jusqu'au-boutisme, ce qui fait franchement plaisir. Malheureusement le film reste chiant à suivre, l'héroïne est souvent désagréable de par son caractère, les auteurs n'arrivent pas vraiment à la rendre sympathique malgré sa richesse. Et surtout on ne sait pas trop où on va, c'est un peu foutraque et brouillon, ainsi les résolutions de fin semblent venues de nulle part et convainquent difficilement.
La mise en scène reste sympa, une caméra qui parvient à capter la légèreté du personnage, laissant à la fois de la place pour les espaces ouverts et les acteurs qui en profitent pour bien s'amuser, surtout Demoustier (qui confirme son incroyable talent). Le montage est bien aussi, le film n'est jamais trop long et les décors sont bien construits, bien accessorisés.
Bref, dommage pour l'intrigue un peu vascillante.
Créée
le 2 janv. 2022
Critique lue 334 fois
2 j'aime
2 commentaires
D'autres avis sur Les Amours d'Anaïs
Le monde se divise en deux catégories : ceux qui aiment Anaïs Demoustier et ceux qui ne la connaissent pas (un petit plus nombreux, peut-être). Pour les premiers, Les amours d'Anaïs, titre parfait, a...
le 16 sept. 2021
18 j'aime
Anaïs la trentaine en thèse de littérature est jolie. Elle dit tout ce qu'elle pense, ressent. Non certaine d'être amoureuse de son chéri : ni une ni deux elle s'en sépare et rencontre un éditeur,...
Par
le 25 sept. 2021
17 j'aime
19
Les amours d'Anaïs est un film pour moi, il y a Anaïs Demoustier, elle joue son rôle de fille pétillante un brin fofolle et désordonnée que j'aime bien et elle est à poil la moitié du...
Par
le 16 déc. 2021
7 j'aime
1
Du même critique
Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...
Par
le 3 janv. 2016
122 j'aime
35
Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...
Par
le 22 févr. 2014
122 j'aime
45
La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...
Par
le 16 janv. 2011
109 j'aime
55