3 ans avant que Andrew Stanton l’adapte dans un film un peu sous-estimé, John Carter débarqué par le biais de The Asylum. Dans un film qui se voulait inspiré d’Avatar…
Militaire, John Carter est envoyé un peu malgré lui sur Mars 216, une planéte lointaine qui abrite la vie… ainsi que des guerres de clans !
Et c’est parti pour du Asylum pur jus, mais plus regardable que d’autres. Si le casting fait place à une ex star du porno aux côté d’un Antonia Sabato au charisme discutable, le film parvient au moins à avoir un peu de rythme. Il fallait bien ça pour compenser les costumes moches et les décors tellement pauvres que même le film parait plus riche. Sans compter son intrigue somme toute trés limitée.
Ne parlons pas des dialogues oud e quelques séquences étirées inutilement, on a là tous les ingrédients d’un film bien bien raté. Mais en même temps, avec Asylum à la baguette, il était clair que l’oeuvre de Edgar Rice Burroguhs n’avait aucune chance d’être sublimé. Elle est donc même carrément rabaissée et c’est bien dommage…