Ce n'est pas un grand film, il est ni réellement bon ni réellement mauvais mais Les Complices de la dernière chance est un film qui fonctionne.
On se laisse rapidement prendre par ce polar très seventies avec son atmosphère désenchantée tel son personnage principal incarné avec talent par George C. Scott.
On se laisse balader par Les Complices de la dernière chance dont une partie du film se passe dans un superbe cabriolet BMW des années 50 (qui est l'autre héros du film).
Le problème c'est peut-être que ce polar est un peu trop sobre mais Fleischer nous réserve quelques moments efficaces comme cette course-poursuite (quasi obligatoire dans ce type de film à l'époque) entre une BMW et une Jaguar à travers de tortueuses routes espagnoles.