Je découvre avec ce court-métrage le cinéma de René Laloux. J'avoue avoir hâte de découvrir La Planète Sauvage mais que cette envie est freinée par la découverte des Dents du Singe.
Je n'ai pas du tout accroché à cette oeuvre qui est apparemment dessinée par des malades d'un hôpital psychiatrique. René Laloux aurait formé un tout. L'ensemble serait une exorcisation des pensées des malades dans cet univers fermé et aseptisé.
Je suis complètement passé à côté de l'histoire, absolument pas touché par ce qui a été raconté. L'ensemble m'a totalement échappé. Seul le passage du rêve a trouvé un écho en moi.
J'ai également quelques difficultés face au dessin même si ce n'est pas dérangeant et que ce n'est pas non plus la raison pour laquelle je suis passé au travers.
Une oeuvre qui, je l'espère, ne dénote pas de l'ensemble de la filmographie de Laloux.