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Je suis un volcan
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Ma critique anonyme
En sortant du cinéma, je me suis tout de suite dit : un Dimanche soir sur Canal, ça se laisse regarder. C'est un bon résumé de l'état d'esprit du film : sympa, ça se laisse regarder, mais ça reste du divertissement.
Le scénario est assez simple : deux « émotifs » (timides, pas surs d'eux, gaffeurs) tombent amoureux. L'un est patron d'une fabrique de chocolat, l'autre chocolatière, l'un embauche l'autre et leur histoire naissante tourne autour du thème du chocolat. Le film est assez drôle (on sourit honnêtement).
Mais le film agace : la pub pour les manteaux verts d'Isabelle Carré, Isabelle Carré qui ressemble un peu à mon ex, les seconds rôles qui manquent un peu de profondeur, le film mené au pas de charge (c'est court et certaines scènes auraient mérité une ou deux ou cinq minutes de plus), le thème central (le chocolat) n'est vraiment qu'un prétexte car on en parle finalement très peu, et puis la musique de fin (Angus et Julia Stone, les Cocoon australiens) est terriblement planplan.
Reste une bonne comédie, pas révolutionnaire, très courte, mais tout à fait adaptée pour un Dimanche soir.
Le scénario est assez simple : deux « émotifs » (timides, pas surs d'eux, gaffeurs) tombent amoureux. L'un est patron d'une fabrique de chocolat, l'autre chocolatière, l'un embauche l'autre et leur histoire naissante tourne autour du thème du chocolat. Le film est assez drôle (on sourit honnêtement).
Mais le film agace : la pub pour les manteaux verts d'Isabelle Carré, Isabelle Carré qui ressemble un peu à mon ex, les seconds rôles qui manquent un peu de profondeur, le film mené au pas de charge (c'est court et certaines scènes auraient mérité une ou deux ou cinq minutes de plus), le thème central (le chocolat) n'est vraiment qu'un prétexte car on en parle finalement très peu, et puis la musique de fin (Angus et Julia Stone, les Cocoon australiens) est terriblement planplan.
Reste une bonne comédie, pas révolutionnaire, très courte, mais tout à fait adaptée pour un Dimanche soir.
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le 24 janv. 2011
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