Super Serrault
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le 17 févr. 2014
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Chabrol signe avec "les Fantômes du Chapelier" une assez convenable adaptation de Simenon, même s'il laisse finalement retomber le soufflé de l'intrigue policière après un début assez efficace. Parties de cartes entre notables, jeu du chat et de la souris entre le bourgeois arrogant et l'immigré paralysé par la peur, cet univers est autant simenonien que chabrolien, le réalisateur nous offrant une nouvelle variation sur la folie, tout en esquissant des clins d’œil au maître Hitchcock. [Critique écrite en 1991]
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Créée
le 21 juil. 2016
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