Le réalisateur Joe Wighth nous fait découvrir, à travers son 7ème long-métrage, dont il est ici question d'un biopic intitulée « les heures Sombres » ; qui narrent l'arrivée au pouvoir du Britannique nommé Premier ministre en urgence Winston Churchill, le 10 mai 1940, au début de la Seconde Guerre mondiale (1939-1945). Ce dernier est alors âgé de 65 ans. De plus, nous pouvons constater que cet échantillon d'une histoire à la fois contemporaine et vraie, dont les discours du protagoniste principal à marquer son temps, mais a aussi laisser aussi une empreinte intemporelle dans les mémoires.
Trame de l'histoire
Au lendemain des débuts de l’offensive nazie en France, le Premier ministre Neville Chamberlain (Ronald Pickup) est contraint à la démission. Ainsi, malgré les réticences des partisans de l’apaisement, le roi George VI fait appel au premier lord de l’Amirauté, Winston Churchill. Et ce, malgré l'impopularité de ce dernier dans la classe politique britannique, en particulier auprès des parlementaires de son propre camp, les conservateurs. Ces derniers, doute de la capacité de ce « vieux lion » grincheux, qui ne se séparent pas d’alcool ; à prendre en main le destin du Royaume-Uni qui risque de se trouver sous la coupe nazie. C'est ainsi, que nous suivons, un Premier ministre dans un quotidien sombre, seul ; remplies d'incertitude. Mais sont pouvoir des mots, qui est sans nul doute sa plus grande qualité, ainsi que le soutien de son épouse Clémentine Churchill (Kristin Scott Thomas), ont permis à Churchill, d'aller au-delà des difficultés qui s'imposent à lui.
Moral de l'histoire
À travers ce long-métrage intimiste d'un homme en proie au doute, car il porte sur ces épaules, la lourde tache de choisir la capitulation ou continuer le combat au nom de la liberté de son peuple et du monde face à la menace hitlérienne. Nous avons aussi été témoins d'un époustouflant rôle d'acteur de Gary Oldman, qui était en immersion totale avec son rôle en tant que Churchill. Qui peut s’expliquer pars le fait qu'il passait 3 h 30 par jour au maquillage, dont le plasticien japonais surnommé « le Picasso des maquillages spéciaux ». Ce dernier, ces occuper des prothèses et des moulages du corps de Gary Oldman, pour qu'il devienne le Premier ministre britannique, à du porter la moitié du poids de son corps en prothèse accompagnait d'une combinaison en mousse, afin de faire gagner du poids à l'acteur. Cela a dû être une charge de travail très dur pour l'acteur.
Pour conclure, je trouve que, le personnage de Churchill est rendu attachant par les circonstances et il devient alors irrésistible de le soutenir, lui qui est attaqué de toutes parts, entre ceux qui veulent être Premier ministre à la place du Premier ministre, l’opposition qui préfère un compromis avec Hitler au lieu de l’affronter, sans oublier, les alliés d’hier sur qui, il n’est plus possible de compter. Bref un film presque au niveau du film « Le discours d'un roi », et ce, malgré quelques ajouts qui historiquement parlent, ne ce n'est pas produit.