Intense activité
La maladie dont souffre le personnage principal de Les Intranquilles n'est nommée qu'à une seule reprise dans le film de Joachim Lafosse et n'explique qu'en partie l'intense activité dont il fait...
le 19 juil. 2021
28 j'aime
Un bon casting, une sincérité et une justesse de jeu, des scènes esthétiques dans un décor bohème qui travaille un négligé chic sous lumières d'été... c'est parfois tout ce que j'attends d'une œuvre.
J'ai perçu la volonté d'un traitement authentique de la maladie à travers la narration de ce drame cependant, je reste sur un goût d'inachevé, désarçonnée par un jeu de longueurs et d'ellipses qui est peut-être... une allégorie du sujet.
Créée
le 20 oct. 2021
Critique lue 522 fois
3 j'aime
2 commentaires
D'autres avis sur Les Intranquilles
La maladie dont souffre le personnage principal de Les Intranquilles n'est nommée qu'à une seule reprise dans le film de Joachim Lafosse et n'explique qu'en partie l'intense activité dont il fait...
le 19 juil. 2021
28 j'aime
Les Intranquilles est un film très dur à regarder et qui ne peut que toucher profondément les personnes qui ont vécu avec, ou qui vivent avec, des personnes psychiquement malades. Le film dégage une...
Par
le 9 juil. 2022
12 j'aime
10
La claque, un choc, chose que je n’avais pas ressenti depuis longtemps devant un film, particulièrement au cinéma. Sans exagérer, je pense que je n'ai pas été aussi décontenancé devant un film depuis...
Par
le 1 oct. 2021
12 j'aime
Du même critique
Un bon casting, une sincérité et une justesse de jeu, des scènes esthétiques dans un décor bohème qui travaille un négligé chic sous lumières d'été... c'est parfois tout ce que j'attends d'une...
Par
le 20 oct. 2021
3 j'aime
2
All work and no play makes Jack a dull boy.All work and no play makes Jack a dull boy.All work and no play makes Jack a dull boy.All work and no play makes Jack a dull boy.All work and no play makes...
Par
le 17 août 2013
3 j'aime
Si le kitsch était un son.
Par
le 24 oct. 2014
2 j'aime