Emotions contraires. À l’instar d’April et de Franck, ce film joue avec nos sentiments. Légèrement déçu pour commencer avec un jeu pas suffisamment profond ou recherché, les acteurs donnent une seconde vie à leur personnage et le scénarios prend une nouvelle tournure lors de l’annonce.
Ensuite on s’y croirait, dans cette banlieue américaine des années 50, dans cette délicieuse apparence trompeuse de perfection.
La musique de Thomas Newman accompagne parfaitement les scènes de vie des Wheeler.
La tension présente tout au long du film nous procure une exquise sensation de peur, d’appréhension, de doutes et de douceur que l’on recherche dans un film.
Merci Sam Mendes. Au final, c’est un film dont on se souviendra longtemps.